L'actualité

Bruno Le Maire a annoncé le 13 février que vous aurez finalement jusqu’à la fin du mois de mars pour faire votre demande de chèque carburant, dont la fin était prévue à l’origine pour la fin du mois de février 2023.
Cinq millions de français n’ont pas encore demandé leur chèque carburant
Le Ministre de l’économie Bruno Le Maire a indiqué, le lundi 13 février 2023, que les français bénéficieront d’un rallongement d’un mois afin de réaliser leur demande de chèque carburant d’un montant de 100 euros, destiné à aider les foyers fiscaux les moins aisés dans leurs achats de carburant.
Alors qu’à l’origine, vous n’aviez que jusqu’à la fin du mois de février pour réaliser votre demande de chèque carburant, vous pourrez finalement réaliser votre demande jusqu’à la fin du mois de mars 2023.
Ce rallongement du temps permettant de demander le chèque carburant vient du fait que seulement cinq millions de français, soit la moitié des dix millions de conducteurs pouvant bénéficier en principe de cette aide sur les carburants, ont réalisé leur demande d’aide auprès de l’administration.
Des démarches à réaliser en ligne
Pour bénéficier du chèque carburant, vous devez vous rendre sur le site https://www.impots.gouv.fr/accueil afin de vérifier si vous remplissez toutes les conditions pour bénéficier de cette aide sur le carburant à des fins professionnels.
Pour cela, vous devez indiquer votre numéro fiscal puis votre plaque d’immatriculation et enfin attester sur l’honneur que vous utilisez votre véhicule pour vous rendre sur votre lieu de travail.
Pour pouvoir obtenir cette aide, vous devez gagner moins de 2000 euros net par mois et avoir des enfants. Cette aide financière n’est pas versée par couple, mais par personne. Chaque adulte d’un foyer fiscal entrant dans les conditions pour bénéficier de cette aide peut donc la demander.

La Sécurité routière a publié les chiffres de la mortalité sur les routes en 2022. Si la mortalité globale reste relativement stable, une catégorie d’usagers de la route spécifique y est nettement plus représentée que dans les publications précédentes : les cyclistes.
Une mortalité routière qui reste stable en France en 2022
Au total, ce sont 3 260 usagers de la route qui ont perdu la vie sur les voies de circulation en 2022, soit un niveau presque stable par rapport à l’année 2019, la dernière année de référence avant que les restrictions de circulation liées au Covid ne soient mises en place.
La différence entre 2019 et 2022 est de seulement +0,5%.
Certaines catégories d’usagers de la route ont vu leur mortalité diminuer, notamment les automobilistes et les conducteurs de deux-roues motorisés, avec 59 automobilistes tués en moins et 34 motards tués de moins entre 2019 et 2022.
30% de cyclistes tués sur les routes en plus l’an dernier
Une catégorie d’usagers de la route a cependant attiré l’attention de la sécurité routière à cause de la très forte augmentation de la mortalité routière qu’elle connaît : les cyclistes.
En effet, ce ne sont pas moins de 244 cyclistes qui sont décédés sur les routes en 2022, soit 30% de plus qu’en 2019, et une augmentation de 66% par rapport à 2010.
Les raisons à l’origine de cette augmentation s'expliquent en partie par le développement important que les mobilités douces ont connu ces dernières années, autant pour les cyclistes que pour les conducteurs de trottinettes électriques, qui sont 34 à avoir perdu la vie en 2022.

L’Association des Constructeurs Européens d’Automobiles estime que la mise en place de la future norme Euro 7 pourrait entraîner un surcoût des voitures neuves pouvant atteindre jusqu’à 2 000 euros par voiture.
Luca de Meo alerte sur la future norme Euro 7
Luca de Meo, Directeur Général de Renault et nouveau président de l’Association des constructeurs automobiles européens a communiqué autour des difficultés que représenterait, selon l’association, la mise en place de la nouvelle norme Euro 7, qui doit s’appliquer aux véhicules neufs vendus à partir de 2025.
Alors que l’industrie automobile fait déjà face à la déferlante des voitures électriques, les constructeurs automobiles demandaient aux autorités européennes de prévoir une norme Euro 7 la moins impactante possible.
Mais la norme prévue par la commission européenne serait bien plus lourde que ce que l’industrie automobile espérait, ce qui entraînerait un surcoût moyen de 2 000 euros par véhicule neuf. Or Luca de Meo estime que cette augmentation de tarif pourrait entraîner une nouvelle réduction du marché de 7 à 10%, poussant ainsi les automobilistes à s’éloigner encore un peu plus du marché du neuf pour se tourner vers celui de l’occasion.
Cette position a été néanmoins tempérée par le commissaire au Marché intérieur Thierry Breton, qui estime que ce coût supplémentaire devrait avoisiner plutôt les 100 ou 150 euros par voiture.
Que contient la norme Euro 7 ?
La norme Euro 7, qui est toujours en discussion et qui doit entrer en vigueur à partir de 2025, devrait permettre une réduction des émissions d’oxydes d’azote de 35% par rapport à la norme européenne précédente. De plus, cette nouvelle norme devrait prendre rendre les tests plus en phase avec des situations de conduite réelles, et devrait également comprendre un certain nombre de limitations liées aux émissions de particules provoquées par le freinage et par l’usure des pneumatiques.

Les prix des carburants ont poursuivi leur envolée entre le 16 et le 22 janvier 2023 et se rapprochent de nouveau de la barre hautement symbolique des deux euros le litre.
Des carburants dont les coûts continuent de grimper
Les chiffrés publiés par le ministère de la transition écologique montrent clairement que les prix des carburants à la pompe ont connu une nouvelle envolée par rapport aux semaines précédentes.
Le prix du gazole a de nouveau augmenté de 3,2 centimes par litre de carburant, amenant son coût à 1,9162 euro le litre en moyenne. De son côté, le SP95-E10 a connu une hausse de presque 4 centimes par litre en une semaine, faisant passer son prix à 1,8748 euro le litre.
Aucune baisse à prévoir dans un futur proche
Si ces nouvelles augmentations de tarif sont évidemment très importantes, celles-ci ne semblent pas près de prendre fin. En effet, cette situation s'explique notamment par les importantes fluctuations du cours du pétrole, dont les changements de tarifs mettent du temps à se répercuter sur ceux affichés dans les stations-service, ainsi que par l’augmentation globale du tarif des énergies qui impacte l’ensemble de la chaîne de production, ou bien encore les effets de l’embargo sur le pétrole russe, qui doit entrer en vigueur à partir du 5 février 2023.

Le magazine L’Argus a annoncé le mardi 17 janvier 2023 que ses cotes pour les véhicules d’occasion allaient connaître une flambée importante afin de mieux répondre à la nouvelle réalité du marché, causée notamment par l’inflation.
Un écart trop important entre les cotes et les prix de vente des véhicules d’occasion
C’est dans un communiqué qu’Olivier Flavier, le vice-président Mobility France du groupe Adevinta et maison-mère du magazine L’Argus, a indiqué qu’il reconnaissait que le montant des cotes telles qu’elles apparaissent dans le magazine ne reflètent plus la réalité du marché de l’occasion, puisque les véhicules se vendent à un tarif nettement supérieur.
Olivier Flavier indique que ce futur ajustement a nécessité de nombreux mois de travail et a impliqué le travail de nombreux experts, ainsi que de data scientists.
Si ces modifications des cotes Argus toucheront tous les véhicules particuliers, elles seront différentes en fonction du type de carburant ou d’énergie consommé par le véhicule, ainsi que par son ancienneté.
Le marché de l’occasion suit une très nette progression
À l’origine de l’augmentation du montant des cotes Argus se retrouve la très bonne performance du marché de l’occasion par rapport au marché du neuf. En effet, alors que la construction de véhicules neuf s’est fortement ralenti du fait des différentes crises successives et que les délais de livraison peuvent parfois sembler interminables pour les automobilistes qui ont commandé un véhicule neuf, de nombreux acheteurs ont donc préféré de se tourner plutôt vers des modèles de véhicules disponibles immédiatement : les véhicules d’occasion.
Or cette demande plus importante de véhicules d'occasion a entraîné une augmentation de tarif de 30% en moyenne par rapport aux prix de vente observés durant les années précédentes.

La maire de Paris Anne Hidalgo a annoncé que la question du maintien ou non des trottinettes électriques en free-floating fera l’objet d’un vote soumis aux Parisiens.
Un vote pour annoncer la fin des trottinettes électriques en libre-service dans la capitale ?
Si Anne Hidalgo a indiqué qu’elle était favorable à la disparition des trottinettes électriques proposées en libre-service dans Paris, elle a ajouté qu’elle souhaitait demander aux Parisiens leur avis vis-à-vis de la présence de ces engins de déplacement motorisés dans leurs rues.
Cette consultation citoyenne sera réalisée dans les bureaux de vote grâce aux fichiers électoraux de la capitale, et ne comprendra qu’une seule question, à savoir s’il faut continuer à accepter les trottinettes électriques en libre-service ou non.
Une volonté d'apaiser la mobilité dans les rues de Paris
Le principal objectif de cette consultation sera d'apaiser la circulation dans les rues de la capitale en mettant fin à la circulation des trottinettes électriques en libre-service, alors que leurs conducteurs ne respectent pas toujours les règles du code de la route et qu’ils peuvent représenter des dangers importants pour les autres usagers de la route.
Pour tenter de maintenir leur présence à Paris, les exploitants de ces trottinettes électriques ont formulé, durant le mois de novembre 2022, pas moins de 11 propositions visant à renforcer la sécurité routière et à permettre un meilleur partage de l’environnement de conduite entre les trottinettes électriques et les autres véhicules.
Mais quel que soit le résultat de cette consultation, les usagers de la route pourront toujours acheter leur propre trottinette électrique.

Différents facteurs se sont rencontrés en ce début d’année 2023 et se concrétisent par une envolée impressionnante des tarifs des carburants.
Une augmentation des prix des carburants venant de différents facteurs
D’après les chiffres officiels publiés par le ministère de la Transition énergétique le lundi 9 janvier 2023, les prix des carburants ont grimpé depuis le début de l’année.
Ces augmentations viennent non seulement de la fin de la ristourne carburant de 10 centimes par litre cumulée à la fin de la ristourne proposée par TotalEnergies, qui fait passer l’augmentation moyenne à 13 centimes par litre de carburant sur l’ensemble du pays.
Mais une autre raison vient également expliquer cette augmentation : la mise en œuvre de l’embargo sur le pétrole russe. Le fait que tous les fournisseurs d’énergie aient dû rechercher en même temps des alternatives au pétrole russe a mécaniquement entraîné une augmentation de la demande auprès des autres producteurs, ce qui a provoqué une augmentation de leurs tarifs.
Les prix des carburants, même ceux de l’éthanol, eux aussi fortement impactés
Par rapport au rapport précédent, le montant du gazole est passé en moyenne à 1,8994 euro le litre, soit une augmentation de 13,29 centimes d’euro. Une augmentation impressionnante mais qui reste bien inférieure à celle de l'essence, le prix du sans plomb 95 ayant grimpé de 17,28 centimes par litre en moyenne en une semaine, pour un prix affiché à 1,8516 euro le litre, et celui de l’essence sans plomb 95-E10, dont le coût a gagné pas moins de 19,23 centimes par litre, avec un prix affiché en moyenne à 1,8346 euro le litre.
Mais les carburants fossiles ne sont pas les seuls à avoir vu leur tarif augmenter. L’éthanol a lui aussi vu son montant grimper de manière impressionnante. Ainsi, le prix de l’éthanol E85 atteignait 1,049 euro le litre, alors qu’il coûtait seulement 60 centimes le litre dans le courant du mois de septembre 2022.

La Sécurité routière vient de publier les chiffres liés aux voitures-radars en 2021. Si tous les départements français n’étaient pas encore couverts par les voitures-radars en 2021, les contrôles routiers réalisés cette même année ont entraîné la remise d’amendes pour un montant dépassant les 50 millions d’euros.
Seuls 39 départements couverts actuellement par les voitures-radars
Sur l’ensemble des départements français, seuls 39 départements étaient couverts par des voitures-radars privatisées sur l’ensemble de l’année 2021, principalement dans le Nord-Ouest du pays. Sur ces 39 départements, pas moins de 400 000 contrôles ont eu lieu dans les départements de la Manche et de l’Ille-et-Vilaine, ainsi que 8 000 contrôles en Haute-Marne.
Au total, seuls 10% des contrôles routiers réalisés par des voitures-radars ont permis de relever des infractions au code de la route. Les 59 autres départements restant n’étaient pas encore concernés par les patrouilles de voitures-radars.
Des amendes pour un montant dépassant les 50 millions d’euros
Au total, les voitures-radars circulant dans l’ensemble des départements concernés ont entraîné l’enregistrement de pas moins de 538 000 infractions qui ont entraîné la perte de 782 000 points sur des permis de conduire, pour un total de 54 millions d’euros d’amende récoltés par ces véhicules suite à des impairs réalisés par des automobilistes.

La métropole lilloise fera l’objet, en 2023, d’un test relatif à un éco bonus, ou péage positif, qui permettra de rémunérer les automobilistes qui ne prennent pas leur véhicule aux heures de pointe.
Un éco bonus, ou péage positif, bientôt en test à Lille
À partir de l’année 2023 sera testé un péage positif à Lille, dont la finalité sera de récompenser les automobilistes qui font le choix de ne pas emprunter leur voiture au moment des pics d’affluence de véhicules sur la route.
Si, pour ce premier test, l’objectif n'est que de réduire de 750 voitures le nombre de véhicules sur les axes très fréquentés le matin et le soir. La métropole lilloise prévoit de verser une prime de deux euros par trajet évité en voiture, jusqu’à 4 euros par jour et avec un plafond maximum atteignant 80 euros par mois, pour les usagers qui n'emprunteront pas les axes A1 et A23.
Mais tous ne sont pas convaincus par cette initiative, notamment à cause du manque d’alternatives dans certaines zones permettant aux conducteurs de laisser leur voiture au garage pour choisir un autre mode de déplacement, et donc bénéficier de cet éco bonus.
Une première pour une ville française
Si ce test sera le premier réalisé en France, il ne s’agit pas de la première initiative de ce type en Europe, puisque la ville de Rotterdam, aux Pays-Bas, a d’ores-et-déjà mis en place cette politique positive d’incitation, différente des contraventions et des sanctions généralement mises en place. L’objectif de ces politiques tient avant tout à éviter que les automobilistes ne surchargent les voies rapides et les périphériques urbains aux heures de forte affluence.

Le dernier kilomètre est une thématique bien connue des livreurs, qui éprouvent parfois des difficultés à finaliser leurs livraisons. Pour aider les livreurs, le constructeur automobile Hyundai a développé des robots autonomes capables de livrer les colis par eux-mêmes.
Un robot de livraison autonome par Hyundai
Présentée durant le CES 2022 de Las Vegas, la plateforme modulaire Plug & Drive du constructeur automobile sud-coréen, qui doit permettre de développer à terme des voitures autonomes, connaît ses toutes premières mises en application sous la forme de robots déployés dans un hôtel ainsi que dans un complexe résidentiel.
En utilisant les technologies dédiées à la conduite autonome, ces robots développés par Hyundai sont capables de livrer rapidement leurs colis, tout en évitant efficacement les obstacles.
De même, les robots déployés dans l’hôtel Rolling Hills assurent le service à la chambre entre 20h et 22h, les clients n’ayant qu’à passer par l’application Kakao Talk afin de passer commande.
Des robots pour améliorer les fonctionnalités autonomes chez Hyundai
Si Hyundai a développé des robots capables de réaliser des missions de livraison en parfaite autonomie, c’est avant tout pour faire progresser les services, la sécurité ou encore l’accessibilité à la mobilité des clients de Hyundai dans le cadre de la mise en application de la conduite autonome.

Une enquête est en cours en Amérique afin de vérifier les véhicules autonomes Cruise, développés par Generals Motors, suite à des problèmes récurrents constatés aux États-Unis.
Des voitures autonomes qui s’arrêtent brusquement et sans raison
La NHTSA, l’agence de la sécurité routière des États-Unis d’Amérique enquête sur les véhicules autonomes nommés Cruise, développés par la marque américaine General Motors. En effet, de nombreux usagers de la route ont indiqué que ces véhicules ont freiné brusquement ou se sont arrêtés sans raison alors qu'une autre voiture s’approchait rapidement de ces véhicules autonomes par l’arrière.
Une réponse automatique du véhicule autonome face au risque d’accident
D’après les différents signalements reçus par la NHTSA, les arrêts impromptus des véhicules Cruise sont une réponse apportée par le véhicule autonome suite à l’approche rapide d’un véhicule vers l’arrière de la voiture autonome.
Dans les trois cas reportés à la NHTSA, le véhicule autonome avançait sous la surveillance d’un automobiliste, et la réponse automatique apportée par le véhicule autonome a été telle face à l’avancée d’une voiture venant rapidement par l’arrière que les trois voitures autonomes ont été percutées.
Un rappel de voitures Cruise aux États-Unis
Pour éviter que des accidents de la route impliquant des voitures Cruise autonomes ne se multiplient, le constructeur automobile américain avait rappelé, dans le courant du mois de septembre dernier, 80 de ses véhicules, afin que ceux-ci apportent automatiquement une réponse différente en cas de risque d’accident de la route, de manière à les éviter au maximum, après que deux conducteurs aient été blessés suite à une collision entre une Cruise autonome et un autre véhicule.

Depuis le 1er janvier 2023, la remise de 10 centimes par litre de carburant a été remplacée par une aide de cent euros que les ménages les plus modestes devront demander.
La fin de la ristourne sur les carburants
Le soir du 31 décembre 2022 a pris fin la remise sur les carburants, qui avait été mise en place à partir du mois d’avril 2022 afin de faire face à la hausse des coûts des carburants. Passant de 18 centimes par litre à l’origine à 30 euros en septembre, puis 10 centimes à la mi-novembre avant de disparaître définitivement au 1er janvier 2023.
Comme lors du passage du montant de l’aide de 30 centimes à 10 centimes par litre de carburant acheté, le prix des différents carburants a connu une légère hausse de tarif après la disparition de cette ristourne.
Une nouvelle aide destinée seulement aux ménages les plus modestes
L’ancienne ristourne appliquée à la pompe et qui était destinée à tous les usagers de la route va finalement laisser la place, à la mi-janvier 2023, à une nouvelle aide qui avait été annoncée par la première ministre Elisabeth Borne le 7 décembre 2022. Cette nouvelle aide, qui se présente sous la forme d’un chèque énergie d’un montant de 100 euros, ne sera versée qu’aux ménages les plus modestes.
Pour recevoir ce nouveau chèque, les usagers de la route dont le revenu fiscal est inférieur ou égal à 14 700 euros annuels devront se rendre sur le site des impôts entre le 16 janvier et le 28 février 2023 puis indiquer leur numéro fiscal ainsi que le numéro d’immatriculation de la voiture qu’ils utilisent pour se rendre sur leur lieu de travail. Les conducteurs recevront alors ces 100 euros directement sur leur compte bancaire.