Grâce à un nouvel outil, la DSR (Délégation à la sécurité routière) peut analyser le trafic routier et déterminer sur quelles portions de route les conducteurs vont trop vite. Les préfectures et les directions départementales veulent exploiter ces informations en implantant des radars aux endroits repérés.
L’exploitation des données de circulation cartographiées par une filiale de Michelin
En 2017, un appel d’offre est lancé pour acquérir les données du trafic routier. Il a été remporté par Michelin Travel Partner, une filiale de l’entreprise Michelin. Le but est de créer une carte répertoriant les vitesses moyennes des véhicules sur chaque route française.
Grâce à ces données, il va être très facile de déterminer quelles sont les routes ou la vitesse est le moins respectée : les préfectures et les directions départementales veulent exploiter les informations de façon à positionner des radars aux endroits où la probabilité de flash est la plus forte. Le but initial de ce projet était d’analyser les données routières afin d’observer l’accidentalité et étudier les comportements pour améliorer les statistiques de la sécurité routière. La finalité en est maintenant tout autre. Les voitures radar, nouveau dispositif géré par des sociétés privées, seront elles aussi invitées à privilégier ces zones pour circuler, afin de surveiller les usagers. Près de 200 de ces véhicules circuleront sur les routes françaises d’ici la fin de l’année 2021.
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